Avons-nous notre place sur Terre, nous qui avons tant de mal à en prendre soin ?
Sommes-nous capables d’être plus attentif à la Terre, plutôt que de simplement l’occuper ?
Par sa mise en scène, Philippe Quesne nous interroge. Il explore le lien entre l’Homme et la Nature, à la lumière de ses vulnérabilités et de ses possibilités et nous livre ses réflexions sur l’Anthropocène.
« Tout est désormais thématique, même les accompagnements, et l’on s’oriente vers le “total thématisme” de Schönberg » note Henri-Louis de La Grange à propos de ce Chant de la Terre (1908) où Gustav Mahler parvient à unifier lieder et symphonie, les deux genres auxquels il a consacré sa vie. Malade et inconsolable de la mort de sa fille aînée, Mahler confie sa partition à son disciple Bruno Walter qui la dirigera pour la première fois en 1911, six mois après la mort du compositeur.
Book
book
Wednesday
09 november 2022
20h00
- Grande Salle
- from 5 to 45 €
- Pass châtelet
Thursday
10 november 2022
20h00
- Grande Salle
- from 5 to 45 €
- Pass châtelet
Do we have a place on this Earth, we who have so much trouble taking care of her? Are we capable of being more attentive to the Earth, rather than simply taking up space? Through his staging, Philippe Quesne asks us questions. He explores the link between Man and Nature, in the light of its vulnerabilities and possibilities, and shares with us his thoughts on the Anthropocene. “Everything is now thematic, even the accompaniments, and we are moving towards Schönberg’s ‘total thematism’,” notes Henri-Louis de La Grange about this Song of the Earth (1908) in which Gustav Mahler manages to unify lieder and symphony, the two genres to which he devoted his life. Ill and inconsolable over the death of his eldest daughter, Mahler entrusted his score to his disciple Bruno Walter, who conducted it for the first time in 1911, six months after the composer’s death.