9 Déc. 2021

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©Marie-Noëlle Robert

Kiss Me, Kate

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En 2016, Cole Porter était à l’honneur au Châtelet avec cette comédie musicale mise en scène par Lee Blakeley. La presse louait le talent mélodique d’un compositeur peu joué en France. Florilège.

En cette fin d’année 2021, l’esprit de Cole Porter plane à nouveau sur le Théâtre du Châtelet à l’occasion des 19 représentations de Cole Porter in Paris. Le talent de ce compositeur à l’esprit étincelant et à la plume sophistiquée est ravivé à travers ce spectacle.

En 2016, ce songwritter avait déjà été mis à l’honneur sur notre scène grâce à sa comédie musicale Kiss Me, Kate (la première à recevoir un Tony Award en 1949), dans laquelle on avait pu écouter sa « musique rafraîchissante, élégante qui swingue » (AFP), « un sommet d’intelligence , de musique et de finesse […] où les tubes sont légion » (Le Figaro). « Cole Porter était le roi des chansons mélodieuses, des harmonies sophistiquées et des paroles pleines de sous-entendus » (France Info). Ses chansons sont devenues des standards (Frank Sinatra, Ella Fitzgerald, Marylin Monroe, Marlène Dietrich, Brian Ferry, Lady Gaga…), à l’instar de Too Darn Hot ou Always True To You (In My Fashion)  « partions jazzy des plus entraînantes » (La Croix).

Le spectacle avait également fait la une de plusieurs émissions télévisées, notamment la Matinale de LCI, où Jean-Luc Choplin, ancien Directeur Général du Châtelet, était invité. Pour lui, la musique de Cole Porter « est une musique formidable, une série de tubes » qui permet au spectateur d’être « porté par le rythme musical, par l’invention, la mélodie, le côté jazz, et le côté musique classique ».

Il y a cinq ans, la presse avait mis l’accent sur cette personnalité « qui a vécu longtemps à Paris, possédant une double culture, américaine et européenne, qui lui permet[ait] de passer d’un jazz « jungle » à un jazz plus classique proche du music-hall ». Ce compositeur, l’un des plus grands de l’âge d’or de Broadway (et son fameux club fermé des Big Five), « a donné à la comédie musicale, [accompagné d’Irving Berlin et Georges Gershwin], ses lettres de noblesse au XXe siècle » (Toute la Culture).

Cette année encore, vous allez pouvoir profiter de « la légèreté, la brillance, l’humour de Cole Porter » (A nous Paris) et vous plonger dans ses chansons, « chansons dont certaines sont devenues très célèbres, au charme fou, tour à tour tendres, drôles, sensuelles, énergiques, émouvantes… » (Valeurs Actuelles) qui vont iriser les planches du Théâtre ! « L’occasion de redécouvrir, tant dans les mélodies que dans les lyrics, l’espièglerie badine de ce génie que fut Cole Porter » (Regard en coulisse), dont la richesse sonore reste sans égal !

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