1 Avr. 2022

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©Thomas Amouroux

Une journée avec le Boli

A l'occasion des représentations du Vol du Boli, le Théâtre vous propose de passer une journée avec le Boli le samedi 23 avril, avec de nombreuses activités gratuites. Au programme: exposition, projection, ateliers de percussion africaine – Djembé, visites, conférence

10h et 11h : Visites du Théâtre

De sa terrasse et sa vue imprenable sur Paris à la salle de spectacle, plongez dans la véritable histoire du Théâtre du Châtelet. Cette visite inclut l’exposition des vingt boliw spécialement créés par Abdou Ouologuem et exposés dans les différents espaces publics du Théâtre pour l’occasion du spectacle.

Durée : 50 minutes / Gratuit

Réservation

10h, 11h et 12h : Ateliers de percussion africaine – Djembé

Le djembé est un instrument que vous trouverez tout au long de la musique du Vol du Boli : l’occasion est donnée aux débutants de découvrir l’instrument et des éléments de rythme avec Abou Diallo, percussionniste de djembé et doumdoum.

Durée : 50 minutes / Foyer Nijinski / Gratuit

Réservation

13h30 : Conférence « Le Boli, un concentré de force, de légende et d’Histoire »

Pour le peuple bamana du Mali, un Boli est un objet chargé de force et d’énergie spirituelle. Volé pendant la période coloniale, l’un d’entre eux va connaître une étrange célébrité. Métamorphosé en chef d’œuvre de l’art africain, il est devenu le symbole des malentendus culturels qui ont marqué l’histoire des relations entre l’Afrique et l’Occident.

Cette conférence sera animée par Manuel Valentin, responsable scientifique des collections d’anthropologie culturelle du Musée de l’Homme / MNHN.

Durée : 1h / Grand Foyer / Gratuit

Réservation

15h : Projection du film « Abderrahmane Sissako, un cinéaste à l’opéra »

Ce documentaire réalisé par Charles Castella à l’occasion de la création du spectacle Le Vol du Boli dresse un portrait tout en finesse d’Abderrahmane Sissako, l’un des rares cinéastes africains reconnus internationalement, notamment pour son film « Timbuktu » couronné aux César.

Il s’agit d’un témoignage filmé sur le processus de création du spectacle durant la période de pandémie, en dévoilant les dernières semaines d’une création singulière à laquelle participent 40 artistes venus de toute l’Afrique et d’Europe. Pour Abderrahmane Sissako « l’expérience de l’opéra est ce qui m’est arrivé de plus fort en tant qu’artiste ».

La projection sera suivie d’une rencontre avec Abderrahmane Sissako et Charles Castella.

Durée : 1h40 / Grande Salle / Gratuit

Réservation

 

Samedi 23 avril

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